Quelques exemples, du côté
des salariés. Une demande de transfert
de congés dans un CET (Compte Epargne Temps) un manager refuse en donnant
comme raison que le salarié est inter-chantier, pourtant un accord collectif
existe ; Une salariée s’absente 2 jours pour maladie, lorsqu’elle perçoit
son salaire, il est en négatif. Lorsqu’elle demande des explications, le CSPRH lui
répond qu’elle n’a pas reçu son justificatif d’absence en temps et en heure ;
Un salarié demande une formation en Anglais en immersion à Dublin, refus du
manager qui demande des explications sur cette demande. Le salarié répond qu’il
est amené à effectuer régulièrement des missions en Angleterre et qu’il
aimerait améliorer son anglais. Malgré cette explication, la formation n’a pas
été acceptée pour autant ; Lors des entretiens d’évaluation, quand vous
l’obtenez, souvent au bout de 3 ans, les managers distribuent des notes
volontairement basses permettant ainsi de justifier la non-augmentation de
votre salaire. Autre technique, ils vous
re-mémorisent une mission
« casse-pipe » effectuées quelques années auparavant en reportant
toutes les erreurs sur votre dos.
Du coté des représentants du personnel, la gestion est bien pire. Atos a d’ailleurs été condamné à plusieurs
reprises pour discrimination syndicale. Dont l’un de nos camarades qui, après 4
ans et demi de procédure a obtenu gain de cause.
Nous lançons régulièrement des droits d’alerte DP pour harcèlement de
nos camarades. Ceux-ci restent bien plus que les autres salariés en
inter-chantier et les missions qu’on leur propos sont bien souvent sous-qualifiées.
Leur salaire stagne depuis des années et leur évolution est stoppée dès
qu’il s’oppose à leur management. Ils peuvent être sortis d’une mission en
clientèle par leur manager dès qu’ils prennent trop d’heures de délégation. Au
lieu de les faire évoluer lorsqu’ils effectuent une mission surqualifiée, leur
management l’ignore et prétends qu’ils ne sont pas compétent.
Welcome chez Atos.
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