Des élections en avril puis en
Septembre, le syndicat
CGC aurait refusé de prolonger les mandats des élus de 6 mois provoquant des
doubles élections
Pour prolonger les mandats des élus DP et CE, il fallait un accord
d’entreprise unanime, c’est-à-dire signé par l’ensemble des syndicats
représentatifs. La CGC aurait refusé un tel accord.
Actuellement l’UNSA pèse 45 % des voix et la CGC 11% depuis les
élections de 2014.
Or, suite aux transfuges des adhérents après l’implosion de l’UNSA en 2015, l’équilibre des forces a changé.
La CGC a en mains le comité d’entreprise, et a l’appui de la majorité de
l’équipe ex-UNSA s’y étant réfugiées
pour suivre leur « leader ».
Pour rétablir l’équilibre des scores, la CGC a besoin de cette élection
d’avril (les mandats actuels ont une durée de 33 mois). Elle pense pouvoir
ravir des voix à l’UNSA, être plus représentative et peser d’avantage dans les
négociations groupe.
Cette
manœuvre d’élections
à répétition est réalisée sans aucune considération pour les salariés,
uniquement dans le propre intérêt d’un syndicat.
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